Retrouvez la première partie de la présentation du parrot ici.
L’aspect général de la boite est attrayant, le carton semble solide et donne une impression de qualité. On peut y lire un résumer du fonctionnement du Parrot Pot ainsi que de son Application.
Le schéma en coupe du pot détail le positionnement et la fonction des 4 capteurs.
En ouvrant la boîte, un explicatif vous permet de vous lancer dans l’installation complète du système sans avoir à parcourir le mode d’emploi.
En résumé :
- Ouvrir le pot
- Insérer les piles fournies (4xAA)
- Refermer le pot
- Rempoter votre plante en ne dépassant pas le niveau maximal de terre
- Retirer le bouchon de protection du réservoir
- Remplir la réserve d’eau
Un jeu d’enfant ? Alors allons-y !
Le compartiment des piles est facilement repérable. Profitons-en pour y regarder de plus près !
Les tubulures translucides alimentent les 4 buses d’arrosage. Ces buses sont en caoutchouc souple permettant un entretien aisé en cas de dépôt de tartre par exemple.
Entre les deux tubulures on repère deux contacteurs métalliques qui viennent faire la jonction avec le capteur de niveau d’eau qui se situe sur le réservoir translucide.
Tout en haut du pot, en blanc, le capteur de lumière qui abrite aussi une LED qui vous avertit en cas de niveau bas ou de piles en fin de cycle.
En dessous de ce bloc, on peut voir les deux orifices de trop plein (en bas à droite et à gauche) et au centre, la connexion à la petite pompe à eau. Le réservoir transparent sur lequel se situe le capteur de niveau d’eau.
La réserve d’eau est très facilement démontable et permet même un lavage des éléments au lave-vaisselle, exception faite du pot où se situent les piles et les capteurs.
Voici une vue du bloc central qui comprend le capteur de lumière, le capteur d’engrais et le capteur d’humidité.
Ce bloc, même si il semble imposant au premier regard, est d’une épaisseur très faible ce qui réduit un peu le volume du pot. Les capteurs d’EC et d’humidité semblent positionnés assez bas pour des mesures cohérentes. Un panier filtre grossièrement l’eau lors des remplissages et un bouchon vient obstruer l’orifice pour éviter tout encrassement. Les 4 buses d’arrosage sont en caoutchouc souple pour faciliter l’entretien.
Il est maintenant temps de remonter le pot et de lui trouver un petit locataire.
Le locataire sera un petit Ficus Ginseng qui trône depuis quelques temps au-dessus de notre frigo. C’est un client idéal qui ne demande pas beaucoup de lumière, ce qui, par les temps actuels de déprime pluvieuse, est un avantage certain.
Quelques billes d’argile au fond du pot pour éviter au terreau de se faire la malle par le trop plein et du terreau léger que j’ai en stock. La contenance de 2.4 litres semble cohérente, c’est un petit pot…
Une fois bien en place, nous passons au remplissage du réservoir.
2 litres d’eau semble être le maximum et encore, le niveau d’eau recouvre un peu de panier de filtration.
Le pot est tout en hauteur, mais une fois lesté avec l’eau et la terre, il semble très stable.
Il est maintenant temps de tester l’arrosage automatique !
À chaque demande manuelle, l’arrosage se met en route 10 secondes. Ça fonctionne à merveille !